Reportages télé, posts LinkedIn, articles de journaux… En cette rentrée, vous n’avez probablement pas pu passer à côté : la « grande démission » est le phénomène du moment. Et pour cause, après avoir déferlé outre-atlantique, la vague de départ des travailleurs a bien atteint les côtes françaises. Mais comment expliquer ce fameux “Big Quit” ? Et comment pourrait-on y remédier ?
“Grande Démission”, “Big Quit”, « Great Resignation »… De quoi parle-t-on au juste ?
Les confinements successifs ont pour le moins fait réfléchir bon nombre de salariés. Doutes, quête de sens, place accordée au travail… Les interrogations autour de l’activité professionnelle et de sa valeur se sont amplifiées à mesure que la pandémie progressait. En conséquence, lors du retour à la normale, le marché de l’emploi s’est retrouvé complètement bouleversé tant le fonctionnement des entreprises n’était plus en phase avec les aspirations de leurs collaborateurs.
Les points majeurs de cette remise en question quasi-généralisée porte bien souvent sur la flexibilité et le bien-être au travail. Par exemple, les jours de télétravail se sont grandement démocratisés et facilitent la vie de nombreux salariés : moins de déplacements, moins de perte de temps dans les transports, baisse de l’empreinte carbone et des coûts, etc. Cependant, qui dit télétravail, dit souvent visioconférence. Et là, le constat est bien moins réjouissant. Selon un sondage Malakoff Humanis, 39% des travailleurs affirment que la visioconférence affecte les échanges et engendre un sentiment d’isolement.
Adaptabilité : le mot d’ordre des entreprises pour préserver leurs employés
Pour retenir leurs talents, les sociétés doivent faire preuve d’innovation afin de combler la jauge de satisfaction et d’épanouissement de leurs salariés. La preuve : 75% d’entre-eux souhaitent que leur entreprise facilite leurs conditions de travail à distance. Et pour cela, quoi de mieux que de trouver une alternative aux logiciels de visioconférence classiques tels Google Meet, Webex, ou encore Teams, et de se tourner vers la téléprésence. Se déplacer dans les locaux en toute autonomie, avoir sa place autour de la table de réunion, participer à la pause café à 10h avec ses collègues… Telles sont les possibilités offertes à une personne travaillant en téléprésence depuis chez elle. Par rapport à la visioconférence, où la qualité d’interactions est très souvent moyenne et la mobilité totalement inexistante, les bénéfices sont indéniables.
Garantissez à votre structure une image d’entreprise novatrice, qui prend en compte le ressenti de ses collaborateurs et fait le choix d’investir dans des solutions robotiques à la pointe de la technologie. Adoptez la téléprésence et assurez aux membres de votre équipe un confort au sein de leur environnement de travail et un outil au service du lien interne, qu’ils soient au bureau ou à distance.
Certes, la téléprésence ne va probablement pas résoudre les causes profondes du phénomène “Big Quit”. Mais, chez Awabot, nous sommes convaincus que c’est par des changements qui paraissent bien souvent mineurs que de grandes transformations aboutissent. Et c’est tout l’enjeu de démocratiser la téléprésence en entreprise.