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Votre dose mensuelle de news robotiques !

Et pour commencer l’année 2019 dans le respect des traditions, nous vous proposons une revue robotique aux allures de bonnes résolutions !

Résolution n°1 : augmenter ses capacités d’adaptation face à l’inconnu

Encore peu utilisé, le Deep Reinforcement Learning permettrait à la robotique mobile de davantage appréhender l’inconnu et ainsi, de gagner en adaptabilité en comparaison des technologies plus classiques de SLAM.

En atteste les travaux du RoboticLab de l’Université des Sciences Appliquées de Gelsenkirchen en Allemagne.

Augmenter la capacité d’un robot mobile à apprendre et s’adapter, un défi que Starship Robots relève également grâce aux réseaux neuronaux.

Résolution n°2 : prendre davantage de temps pour vous, moins pour les corvées !

Se faire livrer ses courses à domicile par un robot, check ! Dites merci à Twinswheel et Franprix qui, en 2019 prévoient une expérimentation visant à accompagner les clients dans les rayons du supermarché et leur acheminer les provisions.

Autre annonce : le “snackbots”, robot de livraison expérimenté par PepsiCo. Pour le rencontrer et ainsi récupérer votre bouteille de soda, il faudra vous rendre sur le campus de l’Université du Pacifique en Californie.

Résolution n°3 : développer vos projets et les tester jusqu’au succès !

Avis aux développeurs robotiques : Amazon annonce AWS RoboMaker.“ La simulation robotique d’AWS RoboMaker facilite la mise en place de simulations à grande échelle et parallèles avec des mondes prédéfinis, tels que les salles intérieures, les magasins de détail ou encore les pistes de course. Notre volonté est que les développeurs puissent tester leurs applications autant qu’ils le souhaitent et exécuter plusieurs simulations en parallèle.“ a commenté Amazon.

Résolution n°4 : proposer des solutions toujours plus astucieuses

Une peau capable de transformer n’importe quel objet en robot, et pourquoi pas ? OmniSkins est aujourd’hui un prototype créé par une équipe de chercheurs de l’Université de Yale en collaboration avec la NASA. Ce robot mou vise à métamorphoser n’importe quel volume en objet utile pour les astronautes, comme un bras robotique ou un moyen de transport capable d’arpenter un terrain difficile. À terme, ce projet pourrait trouver bien d’autres applications.

Résolution n°5 : “less is more !”

“Il est marrant/mignon/curieux ce robot… Et à quoi sert-il ?”.
Comme dans de nombreux domaines, la question de l’usage en robotique est fondamental : elle légitime l’existence du robot aux yeux des utilisateurs.  Ainsi, bien souvent, le design privilégie l’empathie pour favoriser l’acceptation sociale et évoquer les interactions homme-robot attendues. L’usage quant à lui, se doit d’être multiple, voire parfois dans la surenchère de promesses qu’il faut alors tenir (en rivalisant avec d’autres technologies telles que les assistants vocaux pour la robotique sociale) !
Prenons le cas de Jibo, soumis au challenge du “Meet expectations” :

Que se passe-t-il alors lorsque le design et l’usage cultivent le minimalisme ?
Réponse avec “The Greeting Machine” :

Résolution n°6 : aimer et être aimé…

Cela tombe bien, Lovot, l’une des stars robotiques du CES 2019 a été créée pour ça et rien que pour ça (minimalisme toujours !)

Résolution n°7 : rester confiant, même quand c’est “flippant” !

Tant qu’aucun robot, ni IA ne nous battra au UNO, tout ira bien !

Belle année à tous et que 2019 soit une année millésime pour l’innovation robotique !

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